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dimanche 26 juillet 2015

L'agriculture française n'est-elle pas à la croisée des chemins ?

Un titre fait sursauter, sur  les Brèves de l'Obs.

#Agriculture Éleveurs en colère : changer de modèle ? Ce serait contre-productif pour Étienne Jobard, élu local et ingénieur agronome, qui appelle à s'inspirer de la politique américaine


Alors que le concept même de l'agriculture intensive telle qu'elle est pratiquée est en train de tuer la planète et ses habitants, un ingénieur agronome proposerait d'aller encore plus loin ? La malbouffe "à l'américaine" est pourtant bien connue. Avec ses excès en traitements, en vaccins pour les animaux, et en même temps ses manques d'hygiène de base obligeant à traiter les carcasses de volailles à l'eau de Javel (pour satisfaire à la paranoïa du produit exempt de germes), l'agriculture d'outre-Atlantique est le contraire d'un modèle. Elle symbolise tout ce qui est à éviter.

Le vrai modèle est bien entendu celui des paysans d'aujourd'hui, ouverts, attentionnés à allier respect de l'environnement et qualité des produits. Ce ne sont guère eux que considère le système bruxellois, ce ne sont encore moins eux que "les officiels" français prennent pour critère. Pour ceux-ci, l'attention portée aux intermédiaires pléthoriques est balayée d'un revers de main, avec l'exhortation aux grandes surfaces d'augmenter leurs prix sans se poser plus de questions. Le paysan attentif à sa production subit déjà des horaires terribles, si en plus il doit assurer lui-même la vente au particulier, afin que les prix de détail restent réalistes vis-à-vis de ce qu'il en reçoit, il ne tiendra pas longtemps. Pourtant certains le font, grâce par exemple aux AMAP.

En tout cas, il est clair que c'est bien vers ce modèle-là, avec l'aide des pouvoirs publics, qu'il faut avancer. Bien entendu les grandes marques de distribution freineront des quatre fers une telle évolution, qui à terme les éjecterait du marché de la nourriture. Ce sera à chacun d'avancer là-dessus, en privilégiant le contact direct, y compris au marché. N'est-ce pas un beau défi à relever ? 

Un tel changement impliquerait bien des choses, un remplacement total, voire une suppression du personnel politique, la sortie de l'union européenne et ses directives pointilleuses et souvent irréalistes, une nouvelle donne qui toucherait tous les aspects de la société et des buts politiques de notre pays. 

mercredi 22 juillet 2015

On ne saurait mieux dire - à propos des USA, et de la prescience de De Gaulle

Sputnik.fr, en la personne de Nicolas Bonnal, énonce ce que le Grand Charles avait compris il y a plus de soixante-dix ans. Il est dommage que ses successeurs, tous ses successeurs, aient oublié le message.


Un extrait de choc :


« La France a été traitée comme un paillasson! Churchill m'a convoqué d'Alger à Londres, le 4 juin, il m'a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d'hôtel. Et il m'a annoncé le débarquement, sans qu'aucune unité française n'ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). »


Et on voudrait que les Français qui ont compris (oui, il y en a) laissent l'avenir entre les mains de CES GENS-LÀ : il faudrait être fou, fou et inconscient, ou fou et esclave volontaire moyennant quelques piécettes.

Certains s'obnubilent sur les sionistes, et rien qu'eux. C'est passer pour négligeable la volonté quasi immémoriale de domination de la Couronne britannique et ses avatars. Relisons l'ouvrage de 1930 de Francis de Croisset "Nous avons fait un beau voyage". Sous des dehors humoristique, un Français un peu naïf - en apparence - décrit l'Inde soumise aux Britanniques, à leur mode de vie (je n'ose dire leur culture), à leur volonté de domination "comme si c'était naturel, dans l'ordre des choses". Rien n'a changé, ou si peu. C'est toujours la City de Londres qui régit financièrement "le monde civilisé" selon ses critères.

dimanche 19 juillet 2015

Sortir de l'euro et de lunion européenne, Grèce, France et autres : étude du Parti de l'émancipation du peuple

C'est un gros document, chargé de sens et de responsabilité !

Découvrons-le sur le site du Parti de l'émancipation du peuple.

Il parle de la Grèce, et de la façon dont elle a été violée et trahie. Malgré la participation du Parti les 26-27-28 juin à Athènes à un Forum... contre l'union européenne !

Préparation du rassemblement, à Athènes

Il parle de la France, et de la façon de la sauver.

Il parle de nous tous, y compris les plus humbles dont fait partie Sylvain Baron, humble leader de fait d'un mouvement qui ne demande qu'à grandir.

Nous sommes dans une période sans doute charnière, où l'incertitude est de mise. Une seule évidence reste : dans l'union européenne, point de salut ! Il sera toujours temps, APRÈS, de recréer des liens entre des nations souveraines, aux peuples souverains.



samedi 18 juillet 2015

Rappel de la démarche de Sylvain Baron contre des personnalités françaises

On ne le dira jamais assez, le plus haut sommet de l'État outrage délibérément, quotidiennement, les dispositions constitutionnelles, législatives et codifiées contenues dans l'arsenal juridique français. 

C'est bien pourquoi Sylvain Baron, du groupe des Décrocheurs (qui font œuvre de salubrité publique), avait apporté en février de cette année une requête officielle à la Commission du même nom, en vue de déclencher les procédures nécessaires, les investigations adéquates, les Instructions rendues indispensables par la gravité des accusations. Et voici la teneur de cette Requête.

Espérons que cette lettre aura une suite dans le bon sens, et que l'État pourra être assaini. En l'état, c'est de jour en jour que cette situation devient de plus en plus insupportable, sous des dehors qui peuvent paraître anodins pour le passant.

Citoyens, soutenons tous cette initiative. Notre camarade et ami mérite qu'on le soutienne.

mercredi 15 juillet 2015

Paul Craig Roberts analyse fort et grave la tyrannie de Washington





Vu sur Le Saker ce matin (suivre le lien pour l'article entier)

Le Pentagone : L’Amérique n’est pas en sécurité tant qu’elle n’a pas conquis le monde

"...Ce rapport nous dit que la guerre avec la Russie est 
notre avenir, à moins que la Russie n’accepte de devenir 
un État vassal comme tous les pays d’Europe, le Canada, 
l’Australie, l’Ukraine et le Japon... Si l’Amérique ne peut
pas être la puissance unique qui dicte sa loi au monde, 
mieux vaut tuer tout le monde. Au moins cela donnera une 
bonne leçon aux Russes.» 

Paul Craig Roberts


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Avec une telle perspective, si chacun sur cette planète ne se rend pas compte que le Pentagone est l'ennemi de tout ce qui vit..... Qu'on ne prenne pas cela pour anodin : cela signifie une mise aux normes US de tout ce qui existe, y compris les veaux bourrés de vaccins, les poulets à la Javel, la discrimination à la pelle avec des violence policières multipliées par cent, quelques superghettos de super-riches protégés par des barbelés et des miradors, la pauvreté généralisée...

En somme ce sera un Archipel du Goulag planétaire sous le joug bienveillant (oui, oui, merci la propagande) de Washington, relayé par de serviles proconsuls....

Dites-moi que ce n'est qu'un cauchemar, et que nous allons nous réveiller !

lundi 13 juillet 2015

Grèce : accepter l'inacceptable ?

Après une longue nuit de négociations, un accord  ( ?  ?  ? )  pourrait se dessiner .

Comment le peuple grec, déjà exsangue, réagira-t-il à ce qui s'apparente à une Haute Trahison de la part des cadres de Syriza ? On a le droit de se poser de dramatiques questions. Cela s'apparente à des situations qu'on peut qualifier "de guerre", comparables à celles de la dictature des colonels au souvenir ô combien douloureux.

Les États-Unis (traduisez "les banquiers internationaux", mais aussi le Pentagone qui a besoin d'appuis pour son hégémonie "mondiale") ne voulaient À AUCUN PRIX laisser filer la Grèce dans un autre camp. Tout est dit.  Cela ne signifie pas que l'option "ailleurs" soit exclue, mais les pressions officielles ou officieuses doivent être colossales. Malgré les préjugés le plus souvent justifiés, certaine états-uniens ont quelques notions de géostratégie.

Les semaines qui vont suivre vont être encore une fois cruciales pour l'avenir du monde, comme d'autres récemment en Ukraine ou en Syrie. Un fil rouge les relie toutes, depuis des dizaines d'années : les volontés d'hégémonie mondiale et de recherche de ressources pétrolières du gouffre sans fond situé quelque part entre le Rio Grande et les Grands Lacs. Le maelström virtuel du monde. Le trou noir où s'échappe la vitalité d'un monde encore vivant, pour combien de temps ?





QUI tue l'union européenne ? N'est-ce pas vous, monsieur Schäuble ?

Emmanuel Todd vient d'énoncer une analyse lumineuse, allant bien au-delà de différends d'ordre financiers. Analyse qui, par sa pertinence, remet en cause les fondement mêmes de cet assemblage "par le haut" qu'est l'union européenne, sans les peuples, contre les peuples et contre les décisions de ces peuples.

C'est déjà expressément ce qu'avait démontré Marie-France Garaud le 10 mai 2013.



C'est bien un certain Jean Monnet, épaulé par Robert Schumann et Paul-Henri Spaak, qui a mis sur pied, je le répète, sans les peuples, contre les peuples, cette union européenne exclusivement économique. Par un vrai dérapage, la notion économique s'efface même désormais derrière la dimension financière, et les terribles aberrations qui en découlent.

On peut imaginer ce que les énormes sabots à la propreté douteuse d'oncle Sam peuvent faire comme dégâts dans cette Europe complexe où la culture prime la politique, qui prime l'économie.

Certes, la Grèce doit quitter ces écuries d'Augias, mais il est hautement souhaitable qu'elle ne parte pas seule. L'Italie, la France, l'Espagne, le Portugal auront tout intérêt à sauter le pas en même temps, non en vertu de l'article 50 d'un TUE que les Français ont rendu illégitime le 29 mai 2005, mais selon le principe de nécessité auquel tout État souverain peut faire appel. Déjà, ce départ "en bon ordre" et ensemble rend la démarche non seulement très honorable, mais comparativement plus facile. Pour s'opposer aux créanciers, il serait bien plus judicieux d'organiser un front uni.

Shäuble et sa main......
Clairement, la personne qui aura permis cette libération ne sera que Wolfgang Schäuble, par son intransigeance démesurée le poussant à exiger beaucoup trop de la Grèce, certes, mais aussi de ses autres partenaires. On peut alors dire qu'il aura ainsi tué le dragon qu'il prétendait défendre. Louange à lui (il va en être malade).  

En même temps, à Washington les vautours seront en pleine effervescence, et tenteront par tous les moyens de reprendre la main sur ces territoires qui leur échapperont ainsi, par volonté commune et délibérée. Ne doutons pas que des banquiers en seront malades, d'autant qu'un des premiers actes sera bien entendu de dénoncer les dettes envers eux après avoir saisi leurs biens propres dans les pays considérés. Ce sera un sursaut salutaire de l'humain sur le Bankster, animal assoiffé du sang des peuples.

Merci Monsieur Schäuble !


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dimanche 12 juillet 2015

GRÈCE : le parlement a-t-il capitulé ? - Un forum pour en débattre, proposé par le Parti de l'émancipation du peuple

Le Parti de l'émancipation du peuple suit de près l'évolution de la situation en Grèce. Rappelons-nous : il y a trois semaines une délégation de ce Parti était présente à Athènes pour le forum international anti-européen, plusieurs de ses membres sont intervenus dans les discussions, colloques et débats. Il n'y a eu aucun autre Français présent à cette occasion, dans ce moment crucial. L'impression est que TOUS les Partis français les plus importants se retrouvent derrière les volontés du gouvernement allemand, sans rechigner ni objecter, sans réagir ni se rebeller.

Cette fois des choix déchirants se profilent. A nouveau le Parti de l'émancipation du peuple est sur la brèche, et cette fois nous invite à débattre sur ce choix du gouvernement grec, du Parlement grec, de la population grecque. Rappelons qu'elle continue à être derrière ses élus même maintenant, ainsi que le démontre éloquemment ce sondage publié le 10 juillet (merci à Okéanews pour cette contribution).




Pour se rendre sur le forum de discussion, c'est ici.

Voici un extrait du chapô de ce forum.......

LE GOUVERNEMENT GREC A-T-IL CAPITULÉ DEVANT LA TROÏKA ? RÉAGISSEZ SUR LE FORUM !

Par le Parti de l’émancipation du peuple (ex-M’PEP).
Le 11 juillet 2015.
La situation en Grèce est dramatique, la population est atterrée. Que penser des nouvelles propositions du gouvernement grec à la Troïka dans la nuit du mercredi au jeudi 9 juillet. Que penser du vote du Parlement grec sur ce texte, où la majorité des députés de SYRIZA ont voté le texte du gouvernement avec les voix des députés de droite et du PASOK qui avaient mis en œuvre les plans d’austérité précédents ? Faut-il admettre, comme le fait Alexis Tsipras, « que nous n’avons pas le choix » sinon ce sera la sortie de l’euro et de l’Union européenne ?
Le Parti de l’émancipation du peuple (ex-M’PEP) s’est procuré le document du gouvernement grec (remis aux députés grecs en anglais !) et en a fait la traduction en français. Il organise un grand débat national pour savoir que penser de ces propositions à partir d’un forum sur son site Internet.

Exprimez-vous sur le forum !

vendredi 10 juillet 2015

La DETTE c'est le vol, en France comme en Grèce



On le voit partout, aussi bien en France qu'en Espagne, au Portugal, en Italie, en Grèce, mais aussi en Afrique, et même aux États-Unis où la misère règne en maîtresse à côté d'îlots de richesse extravagante. La présence du banquier tue la vie. L'avoir tue l'être. Tue, et re-tue, en une répétition insensée et morbide. La richesse acquise par dépouillement des autres est, selon "les valeurs" puritaines, la quintessence du nirvana, le signe d'une grande valeur personnelle, le paradis sur terre. Cette donnée de base est la source de tous les malheurs du monde. 



Et tout cela parce que le principe même du banquier est de créer de l'argent, de le prêter en faisant mille manières comme si on lui arrachait un bras, de se le faire rembourser, et alors qu'il n'a coûté que quelques jeux d'écritures, d'en demander paiement sous forme d'intérêts énormes, tout au long d'un processus volontairement interminable. Pire, le banquier se prévaut de cet argent dû pour le faire fructifier dans des montages financiers de plus en plus complexes, alors qu'il n'existe pas. La seule chose réelle, ce sont ces intérêts versés, fruits du sang de la Terre, du sang des humains, ceux qui réellement travaillent. Les vampires opèrent dans des circonstances précises, les Banksters opèrent au grand jour, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, tout au long de l'année, même quand ils dorment.

Voilà. Nos ennemis sont désignés. Il n'y en a pas d'autres, même s'ils s'entourent de subalternes chargés de commander à la piétaille, celle qui crée des richesses, de subalternes qui veillent à canaliser toute rébellion par la persuasion, et s'il le faut, par la force ; et aussi de subalternes chargés de divertir les travailleurs, et d'autres subalternes chargés de divertir « les Maîtres ». Voilà le monde où nous vivons. Encore. Jusqu'au moment où la Terre sera morte, et les travailleurs également.

mardi 7 juillet 2015

Les Mistral pour la Russie : ce sera Niet, donc les décideurs seront les payeurs

Cette dépêche nous arrive de Russia Today,  aujourd'hui.



Le gouvernement français a finalement tranché, et décidé de ne pas livrer à la Russie les deux porte-hélicoptères de type «Mistral», a déclaré à Washington le ministre de la Défense français Jean-Yves Le Drian.
Le ministre a souligné lors d’une conférence de presse dans la capitale américaine que les manquements aux termes du contrat avec la Russie coûteront à la France 1,3 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros), mais qu’il n’y avait «pas d’autre choix», selon Le Drian.
D’après l’agence Sputnik, le responsable a noté que la France aura du mal à trouver un autre client qui puisse racheter les Mistral, vu que les navires ont été construits conformément aux spécifications de la flotte russe. Il a ajouté qu’il sera heureux si les Etats-Unis acceptent de les acheter. Cependant, il s’est vu opposer le mutisme du ministre américain de la Défense Ashton Carter, également présent au point de presse, concernant cette proposition. 

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Prenons acte de cette décision, mûrement réfléchie, ô combien. Le contrat pour la construction de deux unités de type Mistral par les chantiers de Saint Nazaire date de juin 2011. Il y a un an environ,  François Hollande fait part de ses réticences à livrer ces navires au moment où le premier est prêt : des marins russes sont pourtant déjà à bord de celui-ci, pour se familiariser avec les particularités du bâtiment. Son prétexte : ce serait la Russie qui serait la cause de la sécession de la Crimée. Cette partie de l'Ukraine, russophone en grande majorité, a été annexée à l'Ukraine par l'ancien président de l'URSS Nikita Khrouchtchev. Excédée par les velléités nationalistes de Kiev leur interdisant désormais de parler russe, la population a décidé de se séparer d'une Ukraine investie par un coup d'État nazi soutenu par les États-Unis.

Donc, unilatéralement, par "représailles", François Hollande sous les suggestions "amicales" et appuyées de Washington oppose son refus à cette vente. Voyons où nous en sommes.

¤ Le contrat a été honoré financièrement, il va falloir rendre l'argent.

¤ La Russie n'avait pas réellement un besoin pressant des ces bâtiments, elle s'apprête d'ailleurs à en construire qui seront assez similaires à ceux-là. Ne lui importe donc que le remboursement des sommes avancées sur livraison. Pour elle ce n'est pas une sanction, tout au plus un léger contretemps.

¤ Les navires ont été montés en fonction des caractéristiques des normes militaires russes, bien spécifiques. Ils ne sont pas vendables à un autre client en l'état. Qui paierait les transformations nécessaires ? Washington, l'origine des "sanctions" ? On peut en douter. On voit mal Hollande faire les gros yeux à Obama, c'est peine perdue d'avance.

¤ Ces "épaves" qui attendent leur envoi sont la cible de "récupérateurs" de métaux, de matériels, qui déjà malgré le gardiennage ont réussi à soustraire des objets dans le Vladivostok, l'unité déjà terminée depuis plusieurs mois. Il y aura un coût à la remise en état de l'existant.

Afin de ne plus ajouter encore des dépenses, la solution serait d'envoyer ces navires tout neufs à la ferraille. Certains ont même avancé qu'ils pourraient tout simplement être coulés. Perte sèche, et pollution des grands fonds. Bonne idée !

Alors, pour éponger toutes ces dépenses inconsidérées du fait de l'entêtement US à sanctionner la Russie, coûteux, inapproprié et inutile, et vu que ce pays fier et dominateur n'acceptera pas de payer, il serait peut-être judicieux de se tourner vers les politiciens qui ont pris la décision finale. Monsieur Hollande, vous avez bien quelques milliards pour rembourser les finances françaises ? Non ? On peut être persuadé que vos amis banquiers seraient tellement heureux de vous donner un coup de main, pour compléter la somme !